[presse] [vidéo] [liens] [booking]
Alessandra Leão est originaire de Recife, capitale de l'état de Pernambuco, dans le Nordeste du Brésil. Percussionniste, compositrice et chanteuse, elle débute sa carrière de musicienne en 1997 avec le groupe Comadre Fulozinha avec lequel elle enregistre un album éponyme et se présente sur les scènes nationales au Brésil et également en Europe, USA et Canada au cours de l'été 2000. En parallèle, elle multiplie les participations (enregistrements d'album et concerts) aux côtés de musiciens comme António Carlos Nóbrega, Siba, Silvério Pessoa, Zé Neguinho do Coco, Kimi Djabaté (Guiné Bissau), Florencia Bernales (Argentine) entre autres. Enrichie de ses diverses expériences, Alessandra développe des projets solos de composition et de production comme le spectacle "Folia de Santo" en 2004 qui réunit des pièces musicales de la culture populaire brésilienne rattachées aux pratiques dévotionnelles de diverses régions du Brésil. En 2006, elle matérialise son travail d'auteur avec l'élogieux « Brinquedo de Tambor », son premier album, salué unanimement par la presse nationale.
Son second album, « Dois Cordões », est lancé au Brésil en 2009. Dans ce dernier opus, la recherche d'une sonorité singulière prime dans la conception des arrangements (oeuvre du producteur, instrumentiste, arrangeur et partenaire de toujours Caçapa). Il en résulte une mosaïque inédite des timbres de trois guitares électriques (de 6, 7 et 12 cordes), créant une combinaison non pas harmonique mais avant tout polyphonique, qui enrichie le vocabulaire des cordes et l'imprègne d'atmosphères envoûtantes et d'envolées presque hypnotiques. Ce méticuleux filet de voix instrumentales se rattache à la terre, non par hasard, par un mystique (et mythique) trio d'ilús: tambours de peaux utilisés dans les célébrations de Xangô, divinité syncrétique glorifiée dans le candomblé au Pernambuco. Mais rien de cela ne serait plus curieux si dans cette harmonie élémentaire, combinaison de rythmes telluriques et de mélodies cosmiques, ne flottait pas comme un oiseau rare, la voix d'Alessandra Leão, tantôt eau, tantôt feu, sublimant cette eurythmie joyeuse.
Alessandra chante ses textes originaux qui ouvrent leurs ailes sur le sol de la Terre et planent sur le monde, sur des sentiments universels, sur des drames de tous et de chacun. Paire et parité, double et dualité; tradition et contemporanéité, électrique et acoustique; feu et mer, paroles d'Ogum et de Iemenjá; Afrique et Amérique, arrivées et départs; Amour et violence, tension et fête: paroles de gens.
Et c'est bien cela qui fait toute la force de "Dois Cordões". C'est un album conçu par des gens. Des gens qui parlent de gens.
12.10: Le
Comptoir du Jazz - Bordeaux (F) (location Fnac, réseau
France Billet: 8€, 10€ sur place)
13.10: La Dynamo - Toulouse (F) (+dj set La Tabaquera)
18.10: L'Astrolabe - Orléans (F) (+ dj set La Tabaquera)
(location Fnac, réseau France Billet+ point de vente sur
Orléans: Planète Claire, rue Croix de Malte: 10€, 14€ sur
place)
19.10: Maison de quartier Doulon - Nantes (F)
(location Fnac, réseau France Billet + points de ventes sur
Nantes: Melomane, 2 quai de Turenne / Oneness Record, 32 rue
Maréchal Joffre: 8€, 14€ sur place)
20.10: stages de percussions/chant - Nantes (F)
21.10: Le Studio de L'ermitage - Paris (F)
(location Fnac, réseau France Billet: 12€, 15€ sur place)
27.10: Zoom Brasil - Lyon (F)
(location Fnac, réseau France Billet: 8€, 12€ sur place)
location: Fnac - Carrefour - Géant - Magasin U -
Intermarché; www.fnac.com - www.carrefour.fr -
www.francebillet.com - 0892 68 36 22 (0,34 cts/min).
Vente sur place le soir du concert:
Horaires, tarifs, extraits audios, vidéos:
http://fonetik.free.fr - infoline: 06 820 742 06 -
fonetikproductions@gmail.com
http://www.facebook.com/events/270954966357409/
LINE UP
Alessandra Leão: chant, pandeiro, caxixis.
Caçapa: guitare 12 cordes. Hugo
Lins: guitare 6 cordes. Rodrigo Samico:
guitare 7 cordes. Homero Basilio: tambour
ilú melê, caxixis. Carlos Amarelo: tambour
ilú melê-ankó. Guga Santos: tambour ilú
yan, triangle. + 1 tour manager
[Presse]
"Alessandra Leão nous propose un des disques le plus incroyable de 2009. "Dois Cordões" pourrait entrer par la porte de devant dans la cour des meilleurs disques pop/populaires de la planète." Arthur Dantas, « +Soma » São Paulo.
"Preuve qu'il est possible de chercher des rythmes traditionnels sans se résumer à un simulacre du passé. "Dois Cordões" est un disque qui s'écoute du commencement à la fin." Douglas Vieira, « Bilboard Brésil »
"… elle s'est adaptée au timbre ancestral des cantadeiras, sa voix volumineuse et est presque déchirée, rustique. Ensuite elle chante sur des bases instrumentales "mangue" jamais entendu auparavant, de conception polyphonique…" Juarez Fonseca, « Jornal ABC » Porto Alegre.
« Alessandra est une force de la nature à l'état brut. Tout ce que ces nouvelles chanteuses de samba essayent de faire, elle le réussit". » Arthur de Faria « Woofertime.com »
« Dois Cordões » a été cités un des meilleurs disques de 2009, d'après Folha de São Paulo », « Jornal ABC », « Jornal do Commercio » (Pernambuco), « Diário de Pernambuco », « + Soma » entre autres.
[Vidéo]
Toutes les vidéos
http://www.youtube.com/alessandraleao
[Liens]
Varanda
Mélange de « coco de roda » avec une spécificité de genre identifiable seulement par des experts : le « baianado alagoano ». Alê dit : « C'est une chanson qui ouvre l'album pour apporter un sourire, chanter et laissez le vent jouer sa partie ». La structure polyphonique des guitares de 6, 7 et 12 cordes créé une chaîne hypnotique, aidée par des effets de trémolo qui entame l'album en créant d'emblée un état mystique pour ce qui va suivre: un entrelacement des tambours religieux (ilús) avec les guitares électriques profanes.
Luzia, Rainha do Baianá/Tombo do Navio
"J'ai écouté pendant des d'années des groupes de « baianas alagoanas » et notamment le groupe « Baianas do Coqueiro Seco », qui chante ces deux chansons qui sont parmi mes préférées". Dans la tradition des Baianas, seulement les femmes chantent accompagnées d'instruments de percussions. Dans cette version adaptée, des amis de la génération d'Alessandra, China et Jr.Black, chantent les choeurs, renversant ainsi la tradition des voix féminines. Les sonorités similaires des guitares électriques créent une ambiance décalée, une sensation subtile d'étrangeté, soulignée par le chant d'Alê, plus héréditaire que jamais.
Ai, Dendê
« J'ai appris à chanter ce
"samba chula"* - avec le défunt Mestre Quadrado, de l'île
d'Itaparica – en participant à l'enregistrement de « Dossiê
do Samba de Roda Recôncavo Baiano » en 2004. Il avait une
manière unique et enchanteresse de chanter le « chula »
accompagné d'un tambourim». Les guitares électriques
démarrent en flirtant avec le rock, embrassent, puis
épousent définitivement le rythme des guitares électriques
de Pará. Tout comme les choeurs, chantés par Alessandra
elle-même, reflètent les sambas des groupe de Rio de
Janeiro, de Pixinguinha, de Donga, et des « tias baianas ».
*varation du Samba de Roda qui prend sa source
principalement dans les chants des planteurs de canne à
sucre dans l'intérieur de l'état de Baia.
Chave de ouro
« Parce que les histoires ont toujours une fin ! (c'est le dernier titre de l'album). C'est la première fois que je travaille avec Kiko Dinuci, de São Paulo, un des meilleurs compositeurs que j'ai pu connaître récemment et qui chante aussi ». Les vieux camarades de Pernambuco, vivant maintenant à São Paulo, Maurício Alves (ancien Mestre Ambrósio) et de Mestre Nico (Jr. Barreto) jouent les ilús pour appeler les Orixas et pour apporter de "bonnes vibrations" à l'album
[presse] [vidéo] [liens] [booking]
Rod est né en France de parents immigrés portugais. Il grandit au son du fado et de la Bossa Nova mais ce sont les mélodies de la soul et du reggae qui vont rapidement l'envoûter. Sa voix va le mener vers divers horizons. Il enchaîne ainsi les live, tant avec des musiciens qu'avec des Sound Systems, d'Orléans à Porto, en passant par Vienne et la Guadeloupe (de 2000 à 2008 il fera la première partie d'artistes comme les Skatalites, Israël Vibration, U-Roy, Pablo Moses, Zareb, Zion Train…). En 2009, c'est la rencontre avec The Ligerians, un backing band solide qui axe son travail sur la création et l'arrangement de riddims originaux. Imprégné de rythmiques légendaires telles que The Wailers, Sly & Robbie ainsi que d'arrangeurs tels que Lee Scratch Perry et King Tubby, le son du groupe joue avec la puissance et la chaleur du roots, mêlées à l'énergie des productions reggae modernes. 2010 est l'année de la sortie d'un premier EP « Angel » avec lequel Rod Anton & The Ligerians propose « un reggae roots proche de l'esprit jamaïcain des années 70-80 » (Reggae Vibes Magazine, Fev 2011). Ce premier opus, enregistré entre la France et la Jamaïque, marque le début d'une étroite collaboration entre Rod, Cedric Myton et Roy 'Ashanti' Johnson, deux membres fondateurs du mythique groupe The Congos. En cette année 2012, le travail de Rod Anton & The Ligerians s'axe sur la sortie de 2 projets successifs : «Leaders of Tomorrow»(lancement numérique – Musicast), et «Reasonin'» (distribution : Musicast) où les influences Reggae Old School du crew sont clairement affichées et assumées. Pour ce dernier opus, Rod retourne en Jamaïque enregistrer les featuring: The Congos, Max Romeo, Vaughn Benjamin, chanteur du groupe Midnite, et de Brother Joe, Elder Rasta maître de percussion Nyahbinghi jamaïcaine et fondateur des légendaires «Sons of Negus».
LINE UP
Rod Anton: voix lead. François:
batterie. Lionel: basse. Gab:
Guitare 1. Alex: Guitare 2. Emma:
Claviers.
Tournée "Reasonin' " - booking ouvert!
11.05: centre culturel
+ Sebastian Sturm - Montargis
18.05: Guinguette du Bord de Loire - Tours
27.05: FEstival on n'est pas là pour être ici - Artannes
sur Indre
1.06:La Cerise - St Paul - île de la Réunion
2.06: Les Pot'irons - île de la Réunion
3.06: SAFIKO Festival - île de la Réunion
7.06: BATOFAR - Paris - Release Party "Reasonin" feat ras
Daniel Ray et TU SHUNG PENG
16.06: Nadir - Bourges + Lyricson
24.06: Fête d'ici et d'Ailleurs - Alençon
01.07: La Loire à Vélo - Tours
24.08: La Pleine Lune - Montpellier
25.08: La Pleine Lune - Montpellier
26.08:Le Paradox - Marseille
01.09: No Town Festival - Nemours
08.09: Festival des Ventres Jaunes (+ Raggasonic) -
Clémont
25.10: Le Bouillon (+Meta & The Cormetones)- Orléans
[Presse]
Une critique unanime du premier album
"Angel":
« un reggae roots proche de l'esprit jamaïcain des années
70-80 » magazine "Reggae Vibes", Fev 2011.
"...du bon reggae roots" rootsandculture.net nov 2010
"Un artiste Français au potentiel Enorme" world sound Mars
2011
« Un mini album plutôt réussi au son étonnamment Roots »
reggaemag.fr, janvier 2011
Dossier de presse complet à télécharger (67 Mo):
http://www.mediafire.com/?kkknc8buq3d3brf
Promo-links
http://www.canalplus-reunion.com/Programmes/Divertissement/CANAL-SAKIFO-Les-portraits
http://www.jactiv.ouest-france.fr/sortir/musique/video-bon-vieux-reggae-rod-anton-6755
http://www.reggae.fr/lire-article/2909_Rod-Anton---Interview.html
http://www.partytime.fr/post/2012/03/26/VIDEO-Freestyle-Rod-Anton-and-The-Ligerians-18-MARS-2012
http://publikart.net/rod-anton-en-live-super-sunday-with-patrice-dimanche-8-juillet-a-la-maroquinerie-paris
[Vidéo]
[Liens]
http://www.myspace.com/rodanton
http://www.youtube.com/user/kayalho?feature=mhee
http://www.lelectrophone.fr/#/les-plus-populaires
http://www.deezer.com/fr/music/rod-anton
http://www.facebook.com/pages/ROD-ANTON/114245451936
Contact booking:
Fabrice Gervais
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«Reasonin'», (Wall
on Stage/ Musicast) album disponible (physique et
numérique à partir du 21 Mai 2012 ! Album 12
titres dont la thématique tourne, comme son nom l'indique,
autour de la notion de «Reasonin'» que l'on peut voir comme
une réflexion, un échange entre des personnes cherchant à
atteindre une certaine sagesse. On y retrouve à nouveau The
Congos sur le fameux « Leaders of Tomorrow » dans sa version
LP mais également Max Romeo, autre monstre sacré de la
musique jamaïcaine, qui vient poser son groove sur des
morceaux comme « Holy City » ou encore « Mr Richman », titre
contestataire dénonçant les excès et l'égoïsme inhérents à
notre société. Cet album compte également une autre
collaboration, celle de l'un des grands acteurs de la scène
Reggae Roots actuelle et qui, pour une fois, ne nous vient
pas de Jamaïque mais de Sainte Croix, petite île de
l'archipel des îles vierges. Vaughn Benjamin, chanteur du
groupe Midnite, le tout accompagnés par le tambour «
repeater » de Brother Joe, Elder Rasta maître de la
percussion Nyahbinghi jamaïcaine et fondateur des
légendaires «Sons of Negus». Rod propose dans cet album des
morceaux écrits autour de grands thèmes qui lui sont chers
comme l'écologie dans « Sorry for the inconvenience » ou des
morceaux plus personnels comme « Invisible Flames » sur un
reggae transcendant joué par The Ligerians.
«Leaders of Tomorrow» maxi 4 titres (EP) -
sortie numérique le 20 février. L'occasion
de faire la transition entre les diverses influences du maxi
« Angel » et la direction strictly Roots assumée par Rod
Anton and The Ligerians. Vous y retrouverez « Soul Nurse »
et « Waitin' Fi A Betta Day », titres que le public a pu
apprécier sur le Angel Tour, mais également «Leaders of
Tomorrow » qui donne son nom à l'EP, fruit du travail
réalisé à Saint Catherine, (JA) en collaboration avec The
Congos, réuni au complet pour l'occasion. Ce riddim a
directement inspiré Rod et les Congos, qui en ont fait un
hymne à l'éducation des plus jeunes. Enfin, en exclusivité
sur ce maxi, « Dub of Tomorrow », remix de « Leaders of
Tomorrow » distillé par Babs, savant ingé-son du groupe,
friand de gros Reggae sur lequel il peut laisser s'exprimer
sa Dub Addiction.
[presse] [vidéo] [liens] [booking]
Cumbia Ya! est née en 2002 créé par un groupe
d'amis et de musiciens qui rêvaient de faire connaître le
célèbre rythme colombien au monde entier.
Depuis 10 ans, le groupe est un des rares orchestres
européens à traduire la fièvre de la cumbia avec tant de
générosité.
Les musiciens proposent une vision très personnelle de la
cumbia, amalgame de leurs influences diverses, jazz, rock,
tango qu'ils distillent dans leur relecture des grands
classiques colombiens des orchestres des années 1950 sans
trahir la qualité ni l'esprit d'antan. Ils étoffent leur
répertoire de compositions originales avec naturel et
virtuosité.
Cette musique était au coeur de la société colombienne comme
pilier de culture et de tradition. Aujourd'hui, le souhait
de Cumbia Ya! est que cette musique, qui a su fédérer toute
l'Amérique Latine, se propage comme un message (virus) de
joie et de bonheur dans le monde entier. Composé
d'argentins, de français et de colombiens, l'orchestre nous
emporte pour nous déposer sur la piste enflammée d'un salon
de danse sud-américain. Les onze musiciens (4 femmes et 7
hommes) se livrent à coeur joie pour envoûter le public et
faire apprécier le célèbre rythme colombien au monde entier.
Le résultat: une ambiance chaleureuse, conviviale,
mystérieuse, puissante et délicieuse à la fois.
2004 « La Amenaza Tropical »
2009 « No Me Busques » Tarambana / Anticraft
Disponible toute l'année
LINE UP
Soledad Romero : chant, clarinette. Christine
Roch : sax tenor, clarinette. Marielle
Chatain : sax baryton, alto. Augusto
Ramos : chant, trombone. Julien Chirol
: trombone. Yvan Djaouti :
trompette. Xavier Bornens : trompette. Ali
Fadelane : congas, alegre. David
Zerathe : timbales, tambora. Monica
Lopez : choeurs, maracas. Kelly Keto :
baby-bass.
[Presse]
Cumbia Ya ! est un espoustouflant Big Band, composé d'une douzaine de soufleuses et de souffleurs venus de tous les continents. La folie épicée de la cumbia, ajouté à un esprit rock décalé, fait de cette fanfare un des groupes les plus festifs du moment ! TéléramaSortir
…cet orchestre de onze musiciens au bas mot sort un album à faire pâlir les meilleurs formations de musique tropicale. […] on ne peut qu'applaudir le swing de cette production, fidèle à la folle et sensuelle énergie des concerts du groupe. Mondomix
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Fabrice Gervais
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Un second album : "No Me
Busques" - Hommage à Lucho Bermudez
Augusto Ramos, directeur artistique de l'album, nous
précise:
" No me busques est un hommage à ce grand compositeur que
fut Lucho Bermudez, admirateur de Benny Goodman et Sydney
Bechet. A l'époque, les big bands d'une vingtaine de
musiciens faisaient danser les foules sans répit.
Aujourd'hui que l'industrie du disque a vu nombre de ces
grands orchestres disparaître, nous avons voulu revenir à la
source pour aller à l'essentiel de cette musique populaire.
Nous avons pris pour point de départ la rencontre de la
Cumbia traditionnelle et du Jazz, et nous poursuivons
humblement la quête que Lucho Bermudez s'était imposé :
celle de tracer un pont privilégié entre ces deux univers.
Nous espérons y être parvenu, tout au moins en partie, avec
ce nouvel album qui nous ouvre de nouveaux horizons, certes
exigeants, mais tellement gratifiants face au public."
Respect de la tradition
"Dans ce souci de qualité et de respect de cette musique
traditionnelle, l'analogique a été privilégié au numérique
lors des enregistrements. La réalisation et les arrangements
reflètent un véritable mariage des tendances d'autrefois et
de l'aspect ludique de la musique d'aujourd'hui.
Nous avons mis la technologie au service de la qualité
musicale de l'album. Pour cela nous nous sommes donné les
moyens d'accéder aux meilleurs studios parisiens et assuré
la collaboration de musiciens talentueux dans les milieux du
jazz, du tango et de la musique traditionnelle colombienne;
des noms comme Kelly Keto (bb), Fabrice Martinez (tp),
Nelson Gomez (b), Julien
Chirol (tb) Matthias Mahler (tb) et Manuel Cedrón (band.) en
sont sont quelques exemples."
13 titres au naturel
Parmi les titres de Lucho Bermudez, revisités par Cumbia
Ya!, on notera l'irrésistible "Pepe" ou encore "Fiesta de
Negritos" qui ouvre l'album comme les concerts.
Les compositions originales de l'orchestre se fondent avec
naturel dans cet ensemble explosif en rythme et en
virtuosité. La voix sensuelle de Soledad Romero sur "La
endormida" et "Indiferencia" , le naturel puissant de celle
d'Augusto Ramos avec "No me busques" et "La maquina del
mecanico"(le premier porro chanté en français?!), apportent
une émotion et un dynamisme indéniable. Un nouvel épisode
réussi dans la discographie de Cumbia Ya!
[presse] [vidéo] [liens] [booking]
Taforalt c'est à l'origine un petit village
Marocain d'où est originaire Mustapha Bouterfass dit « Mouss
» ,auteur-compositeur-interprète.
L'enthousiasme du public lors de premières parties telles
que celle de Zebda ou L'Ochestre National de Barbès donne un
tournant à sa vie artistique et confirme la naissance de
Taforalt.
Après de nombreuses expériences scéniques et collaborations
avec d'autres musiciens, la rencontre de Mustapha Bouterfass
et Pascal Meunier est déterminante puisqu'ils décident de
réaliser le premier album de Taforalt.
Grâce à leur osmose et leur culture musicale ils
auto-produisent chaque morceaux, tissant avec goût les
arrangements afin d'obtenir l'essence et le son de chaque
compositions.
Les paroles de ce premier album, porté par la voix douce et
chaleureuse de Mustapha, raconte un voyage entre l'Orient et
l'Occident.
La musique nous entraine dans une fusion variée et
envoûtante dans laquelle se marient la guitare, le violon,
l'accordéon, les percussions traditionnelles …
Taforalt sort son premier album éponyme afin de diffuser sa
musique et de la faire vivre sur scène.
Que Taforalt se produise en duo ou plus, les frontières
entre la chanson française et la musique du monde sont
ouvertes au moins pour le temps de l'écoute…
En Tournée toute l'année
LINE UP (à géométrie variable, du duo au quintet)
Duo
Mouss: guitare, chant. Pascal
Meunier: percussions
Trio, quartet, quintet
Fred Ferrand: accordéon. Dimitri
Artemenko: violon. David Hazak:
basse.
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Les relations entre l'Occitanie et le Brésil ne datent pas d'hier. En ce qui concerne les deux dernières décennies, divers échanges ont vu le jour entre le groupe La Talvera et plusieurs régions brésiliennes qui se concrétisent sous différentes formes : voyages d'étude et de recherches sur des pratiques musicales régionales au Brésil, production de tournée de chanteurs/improvisateurs brésiliens en France, productions de 2 albums/livrets à partir des recherches réalisées dans le Mato Grosso et dans le nordeste brésilien.
Parallèlement, depuis 2003, le groupe La
Talvera a mis en place des échanges artistiques avec le
chanteur nordestino Silvério Pessoa, qui explique de la
forme suivante sa relation privilégiée avec l'Occitanie:
"C’est depuis ma première visite à Cordes en 2003
que s’est aiguisée ma curiosité sur ces relations entre
nos deux cultures, donnant naissance à des questions comme
: Comment l’accordéon est-il arrivé jusqu’au
Nordeste ? Ou comment expliquer les ressemblances de
tons et de rythmes entre les chansons traditionnelles
occitanes et le forró, par exemple ?
Résistance culturelle, valorisation de la langue,
réflexion socio-économique, thématique des migrants et
immigrés, je suis naturellement devenu avide de culture
occitane car nous partageons tant de similitudes : cela me
permet de comprendre mes propres origines !"
À partir de ces rencontres sont nés divers
projets de production discographique :
Ainsi dans son dernier disque Sopac e patac paru en octobre
2009, La Talvera a fait intervenir Silvério Pessoa sur deux
titres.
De son côté Silvério Pessoa a produit un album dans lequel
participent 12 groupes occitans (Moussu T., La Mal
Coiffée, Bombes 2 bal…) dont un titre avec La Talvera.
Forróccitània.
Le groupe occitan La Talvera et le chanteur Brésilien Silvério Pessoa se rassemblent autour d’un projet musical commun intitulé ForrOccitània où des chants, des musiques et des instruments issus du Nordeste Brésilien et de l’Occitanie vont pouvoir se répondre, dialoguer, créer et se retrouver.
Le forró du Nordeste du Brésil – axé sur des danses généralement d’origine européenne – qui connaît aujourd'hui un rayonnement dans l’ensemble du Brésil et dans différents pays du monde présente de nombreux points communs avec la musique occitane actuelle.
ForrOccitània constitue un spectacle inédit de création entre deux cultures en résistance, jouant sans cesse entre la musicalité de deux langues proches, des poésies simples et directes parlant du quotidien et des contextes politiques, les timbres des instruments typiques des deux régions, le tout entraîné par une tchache endiablée et des rythmes syncopés où les joutes musicales et poétiques seront l'un des fils conducteurs.
Un mélange étonnant de chansons et musiques dansantes et festives, pour un public prêt à bouléguer des pieds et des oreilles et voyager entre les hémisphères !
LINE UP
La Talvera:
Daniel Loddo: accordéons diatoniques,
craba, chant... Céline Ricard: chant,
fifre, graile. Fabrice Rougier:
clarinette, Saxo baryton, bruitages. Serge Cabau:
Percussions. Paul Goillot: guimbri.
Silvério Pessoa quartet:
Silvério Pessoa: chant, kaos pad. André
Julião: accordéon Ricardo Silva:
percussions, batterie. Breno Lira: Viola
12 cordes
+ 1 ou 2 techniciens + 1 prod
Discographie commune :
2009 : "Sopac e
Patac" – (C.O.R.D.A.E/La Talvera//L'Autre
Distribution)
avec la participation de Silvério Pessoa sur les titres
"Aboio do Sertão" et "Canti, Canta, Cantem"
2010 : "Collectiu" - Silvério
Pessoa/Distribution à venir
avec la participation de La Talvera sur le titre " Na
Boleia da Toyota"
[Presse]
[Vidéo]
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Site Silvério (en portugais)Contact booking:
Fabrice Gervais
fonetikproductions@gmail.com
Tel: + 33 (0)2 34 08 27 49
GSM: +33 (0)6 82 07 42 06
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Créé au début des années 1980
pour financer les recherches ethnomusicologiques sur le
terrain d’une poignée d’irréductibles bien décidés à sauver
et à valoriser la musique traditionnelle et la culture
occitane, le groupe La Talvera continue à
explorer de fond en comble le répertoire traditionnel
occitan, tout en oeuvrant à la création d’un répertoire
musical et poétique ancré dans le monde actuel.
Occitane, mais toujours dans une ouverture sur le monde, la
musique de La Talvera reste ancrée dans la
tradition mais crée des liens dans la contemporanéité en
jetant des ponts, d’une génération à l’autre, d’un continent
à l’autre, d’un temps à un autre.
La Talvera,
c’est le bord du champ qu’on ne laboure pas, où les herbes
folles et sauvages se côtoient et se mélangent…C’est dans
cet espace de liberté que naissent les chansons de Daniel
Loddo, et qu’elles surgissent, tchatchent et tapent s’il le
faut, roucoulent et rigolent, éructent et s’énervent,
réveillent et secouent.
« Ça sonne, ça bouge, ça s’emballe, entre accordéon et
cornemuse, guimbarde, clarinette et fifre, percussions,
guimbri, violon et voix…. »
Aujourd’hui La Talvera, c’est un groupe, certes, de musique occitane, mais également inclassable et bigarré. Ni ragga, ni world, ni exclusivement traditionnel, elle est empreinte de ses multiples rencontres et voyages. On les retrouve au détour des chemins et au fil des ans en compagnie des Fabulous Trobadors (entre 1980 et 1991), de Massilia sound system et Moussu T (depuis 1997….), de Marc Minelli (chanteur de rock, 2007-2008), de musiciens bretons (depuis 2008), et de Silvério Pessoa (depuis 2003).
Par ce que pour La
Talvera, la musique traditionnelle, loin d’être
immuable et figée, est le lieu de tous les possibles, de
toutes les rencontres, de tous les combats et de toutes les
révoltes. Qu’il s’agisse des joutes des repentistas du
Brésil, de la musique occitane ou des rythmes berbères,
c’est le son qui fait sens et le sens qui fait son.
Et La Talvera se met à table autour de ces
ingrédients multiples qui entrent petit à petit dans une
recette locale, nouvelle et ancienne, qui se laisse
agrémenter de quelques saveurs venues d’horizons à la fois
lointains et proches. Proches parce que la chanson du peuple
a le même sens partout.
Choc de la musique pour les albums "Pampaligossa" et "Pòble mon pòble"
Bravos de Trad Mag pour "Bramadis","Cançons
de Lodeva", "Pòble mon pòble", "Sopac et patac".
Grand Prix de l’Académie Charles Cros pour
l’ensemble de l’œuvre.
Le forró, tradition moderne
Né au cœur du Pernambouc, là où le forró rythme la vie des habitants, Silvério Pessoa a passé son enfance et son adolescence parmi les coupeurs de canne partageant leur joie comme leurs peines au son des trios d’accordéons, de zabumba et de triangle. C’est dire si il connaît son peuple et la culture qui le porte. Sur son album "Bate o Manca"(2004, Outro Brasil/L'Autre Distribution), il rendait hommage à l’un des maîtres du genre, Jacinto Silva, reproduisant la verve et l’authenticité du forró tel qu’il se pratique dans les campagnes.
Mais Silvério Pessoa est avant tout homme de son temps. Parmi d’autres, il a participé à la révolution Mangue Beat qui a secoué Recife dans les années 90. Avec son groupe Cascabulho, il a apporté sa contribution aux fusions des rythmes locaux avec le rock et l’électronique. Il a poursuivi ce travail de métissage sur son album "Microbio do Frevo", une version électronique du rythme-roi du carnaval de Recife : le frevo. Dans son dernier album, "Cabeça Electrica e Coração Acustico" (Outro Brasil/L'Autre Distribution), Silvério Pessoa présente une des synthèses les plus réussies entre tradition et modernité. Il n’y déploie aucune envie mal placée de rythmes occidentaux, mais opère un retour judicieux sur ses origines.
Le travail artistique de Silvério Pessoa s’accompagne d’un engagement politique fort. Aux côtés des coupeurs de canne et des Paysans Sans Terre, il défend la diversité d’une culture, qui comme beaucoup d’autres, est destinée à disparaître sous les à-coups répétés de la globalisation.
C’est aussi en ce sens que ses rencontres depuis 2003 avec les acteurs de la scène “occitane” du sud de la France ont été si fructueuse, tant personnellement qu’artistiquement : Massilia Sound System, Fabulous Trobadors, Bombes 2 Bal ou La Talvera, par exemple l’inviteront à participer de leurs productions et concerts.
En conséquence logique de ces
rencontres, la production de son nouveau CD, entièrement
enregistré, entre 2008 et 2010, en collaboration avec les
groupes suivant: LA TALVERA, ESTELA DO COCO, FABULOUS
TROBADORS, BOMBES 2 BAL, RITA MACEDO & ANGE B, LA MAL
COIFFÉE, LO CÓR DE LA PLANA, SAM KARPIENIA, MASSILIA SOUND
SYSTEM, MOUSSU T e lei jovents, LOUIS PASTORELLI (NUX
VOMICA),
LOU SERIOL, LOU DALFIN et ORIGINAL’ OCCITANA.
Le lancement de ce CD (Outro Brasil / L’Autre Distribution) fera l’objet d’une création originale avec le groupe La Talvera, destinée à tourner, principalement en France, en 2010-2011.
[presse] [vidéo] [liens] [booking]
Malick Pathé Sow est issu d’une famille de
menuisiers-chanteurs de la famille des Laawbe, l’une des
quatre castes des Griots, qui participe à la transmission
orale des savoirs. C’est dans ce contexte que Malick est,
dès son plus jeune âge, initié à la musique traditionnelle.
Il révèle très tôt toute l’étendue de son talent autant dans
l’art de jouer du hoddu (ou n'goni, luth d'Afrique de
l'Ouest) que dans l’art d’en fabriquer. Si ses proches l’ont
vite honoré du prénom flatteur de « surdoué », le reste du
monde ne tarde pas à le reconnaître comme l’un des meilleurs
joueurs de hoddu de sa génération.
Dès 1978, c'est comme compagnon de route de Baaba Maal avec
lequel il forme le trio Yellitaare Fouta qu'il joue sur les
scènes internationales pendant 10 ans.
Forts de ses qualités de
chanteur-guitariste-compositeur, Malick part en 1991 à la
rencontre de l’Europe. Quatre ans plus tard, c’est à
Bruxelles que Malick crée le groupe Malick Pathé Sow avec
une panoplie d’admirables artistes africains résidant tous
en Belgique.
Le groupe de Malick se produit régulièrement en Europe,
partageant la scène avec Baaba Maal ou Ernest Ranglin et
acquiert une réputation grandissante.
Le quatrième album du groupe, "Maayo Men"
(Notre Fleuve), produit par Muziekpublique en 2009, marque
un retour à une orientation acoustique. Les arrangements
issus des guitares, basse et batterie, veille à redonner une
place de choix aux superbes instruments traditionnels que
sont le hoddu (luth africain), la kora (harpe africaine), le
nianiooru (violon africain). Les mélodies subtiles et
variées privilégient les sonorités à la fois douces et
puissantes de la voix de Malick et recèlent toute la
chaleur, la beauté et l'authenticité de la musique
traditionnelle sénégalaise.
Malick rend hommage à une frontière fluviale, de la région
du Fuuta Toro, dans le Nord du Sénégal, devenue après des
années de conflit, un lieu de rencontre paisible pour les
communautés sénégalaise et mauritanienne.
À travers ses hommages à des personnages aussi influents que méconnus, c’est toute la culture du peuple peulh qui est ici esquissée. L’adage de l'écrivain malien Amadou Hampaté Bâ “un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle” est mis à l’honneur à la manière d’une émouvante dédicace. Si les textes soulignent la nécessité de défendre la culture Peulh, la nature, la préservation du patrimoine linguistique ou l'appel à l'unité au-delà des différences, sont autant de thématiques actuelles qui dépassent les frontières de leur pays d'origine et trouvent un écho universel.
LINE UP
Quartet
Malick Pathé Sow : hoddu, guitare, chant. Bao
Sissoko : kora, tama (talking drum), choeurs. Mady
Kouyate : guitare, basse. Komlan Octave
: percussions (calebasse et autres), chœurs.
Sextet: quartet+
Désiré Somé : guitare, basse. Kalifa
Kone : tama (talking drum), calebasse,
sabar.
+ 1 tech son
[Presse]
[Vidéo]
[Liens]
Contact booking:
Fabrice Gervais
fonetikproductions@gmail.com
Tel: + 33 (0)2 34 08 27 49
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